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¤¤¤Pensées¤¤¤

Aimer c'est souffrir, pour eviter de souffrir,on doit ne pas aimer, mais alors on souffre de ne pas aimer! c'est pourquoi,aimer c'est souffrir. ne pas aimer c'est souffrir et souffrir c'est souffrir......
être heureux c'est aimer, être heureux c'est donc souffrir mais souffrir rend malheureux.....
En consequence pour être malheureux,on doit aimer,aimer souffrir et souffrir d'être trop heureux.....
j'espére que vous me suivez......
(woody allen)

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¤~¤My World¤~¤
Dialogue avec la mort

Un homme a bout ne se sent pas la force de mettre fin lui même à ses jour.Il s'agenouille et supplie la grande faucheuse de l'emporter dans les tréfond des tenebres pour que plus de souffrances il ne subisse:

Une ombre fugace, un froissement dans la nuit...il n'est plus seul ! Il se retourne vivement mais ne voit qu'une ombre sans forme :

L'homme : tu ...tu es la mort?....tu viens me delivrer?
la mort : Ainsi donc tu me tutoies! Nous nous connaissons donc si bien que cela?
L'homme : Non....mais j'aimerais bien !Je t'en prie prend moi !
La mort : te prendre?! est ce un plaisir coquin que tu souhaiterais vivre?!

L'homme surpris de cette replique ne dis mot ...
La mort reprend...

La mort : Tréve de badinage, puisque tu m'appelles si fort je consens le tutoiement !.....ainsi donc tu souhaiterais que je te délivrer....mais te delivrer de quoi?
L'homme : Me delivrer de la vie !
La mort : En t'infligeant la mort?!
L'homme : Oui !
La mort : Pourquoi donc?
L'homme : Parce que je souffre tant,dans mon coeur et dans ma tête....C'est comme une nausée étouffante qui sans cesse me noie dans une chaos bruyant!
La mort : Et tu penses trouver en la mort un reconfort silencieux?!
L'homme : Oui !
La mort : Alors pourquoi ne pas te l'infliger?
L'homme :  Je suis trop lache !

La mort se deplace et se rapproche de l'homme accablé.
L'homme sent alors un grand froid l'envahir.La frayeur le prend à la gorge.Il léve des yeux humble vers cette ombre enigmatique.Mais ne voit rien que l'obscurité....L'obscurité glacée et silencieuse.Il prend peur.Et d'un coup s'ecarte de cette ombre horrifique et se plaque dans un coin de la piéce.

La mort : Je croyais que tu voulais en finir !
L'homme : Je suis trop lache !

La mort ne dis rien mais commence à disparaitre.
L'homme perpléxe se risque à dire :C'est tout?!
La mort  repond : Oui ! Car tu auras sans doute compris que de supporter les souffrances inhérentes à la vie ce n'est aucunement être lache !
La mort viendra bien assez vite dans ta vie, mortel !

Puis sans un mot de plus La mort disparait.
L'homme est perpléxe "mais il n'y a aucune morale à tirer de celà !souffrir dans la vie, fuir la mort .....est ce donc cela que le sens de toute vie ! Le sens de ma vie serait donc un non sens inutile !".
L'homme se releva et devant la misérable conclusion de sa decouverte se dirigea d'un pas determiner vers la fenetre,l'ouvrit en grand et sauta.

18 étages plus bas prés d'une marre sanglante une ombre s'approche et lance à l'homme expirant :"tu vois tu n'as pas été lache ! et la mort est venue bien assez vite dans ta vie, mortel !"

et dans un grand eclat de rire L'ombre disparut emportant l'ame de l'homme dans l'obscurité silencieuse de la nuit.

Ecrit par Jessica H., le Dimanche 3 Avril 2005, 00:06 dans la rubrique "Mes maux par mémo".
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