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¤¤¤Pensées¤¤¤

Aimer c'est souffrir, pour eviter de souffrir,on doit ne pas aimer, mais alors on souffre de ne pas aimer! c'est pourquoi,aimer c'est souffrir. ne pas aimer c'est souffrir et souffrir c'est souffrir......
être heureux c'est aimer, être heureux c'est donc souffrir mais souffrir rend malheureux.....
En consequence pour être malheureux,on doit aimer,aimer souffrir et souffrir d'être trop heureux.....
j'espére que vous me suivez......
(woody allen)

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Et si nous ecrivions une histoire tous ensemble?
chacun rajoutant un bout d'histoire à la suite des autres :)...
Alors je commence^^:

Tout avait commencé par une nuit sans lune.L'obscurité les entouraient.Un bruit, un craquement,tous se retournérent et virent...(à vous :) )

Ecrit par Jessica H., le Jeudi 28 Avril 2005, 15:03 dans la rubrique "Philo-delire".
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Commentaires :

  arkhang
arkhang
29-04-05
à 21:02

... la forêt. Toujours aussi calme. Il n'y avait rien d'étrange. Et pourtant, des bruits, des cris... Ils entendaient mais ne voyaient pas. Plus ils avancaient et plus les bruits faisaient frissonner nos amis... Puis soudain plus rien...
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  Kant
29-04-05
à 21:21

chapitre I

...Rien qu'un vent glacial.

Anne avait les cheveux dans les yeux, et le vent lui fit rouler une larme sur la joue.Elle passa distraitement sa manche sur le visage puis jetta un coup d'oeil anxieux à ses compagnons.Mais que se passait il enfin dans cette étrange et obscure forêt?!

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  Odala
29-04-05
à 21:27

chapitre I

Marc voyait l'angoisse dans les yeux de ses amis.Il se racla la gorge et dit d'un ton rassurant :"bon calmons nous! quoi que se soit nous ferons front!"

puis il ramassa un baton prêt à s'en servir au moindre soucis...

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  Raskolnikov
Raskolnikov
30-04-05
à 10:00

Re: chapitre I

Ils décidèrent à l'unanimité de se fixer  en patientant que l'aurore pointe son nez.
C'était la voie de la sagesse. Ils pourraient enfin s'assoupir et reprendre quelques forces.  Benoit, l'intrépide qui voulait impressionner Anne décida de veiller pour eux. Il leva son baton pour leur signifier qu'à la moindre alerte il ferait face.
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  Songe
Songe
01-05-05
à 09:59

Partagé entre l'envie de sourire des moulinets de Benoît et l'appréhension d'une nuit arrêtée à cet endroit lugubre, Sylvain se proposa timidement de prendre la seconde garde. Il se faisait confiance pour ne pas s'assoupir avec l'angoisse qui lui serrait le coeur et nouait la gorge ...
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  alberto
alberto
01-05-05
à 15:16

Re:

... Il avait l’impression que la nuit ne finirait jamais. Ils n’était pas sûr non plus que les bruits, les cris avaient cessés.  Dans le lointain les cloches d’une église avaient retentit trois fois. Bientôt il y aurait les quatre coups qui lui annoncerait quatre heures du matin. Mais pourquoi tardaient-elles. Il n’avait jamais aimé les cloches ! « Elles ne sonnent que pour les morts ! » se disait-il depuis sa jeunesse. Tout à coup, un ronflement à la fois sourd et strident faillit presque le faire chanceler de peur. C’était Benoît !

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  Odala
01-05-05
à 15:34

Chapitre I

Anne qui somnolait se reveilla en sursaut aux bruits qui l'entouraient.
et poussa un hurlement d'effroi, qui fit frissonner de terreur Marc, sylvain et tous les autres...
Elle avait de grands yeux ouverts regardant l'obscurité avec apprehension...Il lui fallut quasiment 1minute pour realiser qu'il s'agissait de Benoit!

"mais tu es fou ou quoi...tu veux nous faire mourir de peur?!"

Anne avait le visage écarlate de colére et de peur...mais elle était aussi genée et soulagée....elle se leva et alla s'assoir sur un rondin non loin du groupe en tournant le dos au p'tit rigolo...

Tous lancérent un regard reprobateur en l'encontre du pauvre Benoit....

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